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il y a 4 ans
Aujourd'hui, Malvina souhaite faire du shopping. L'automne arrive, et avec le changement de saison vient le renouvellement de sa garde-robe. Comme j'aime sa manière tantôt élégante, tantôt sexy de s'habiller, c'est loin pour moi d'être une corvée de la suivre dans ses achats, même si les magasins ne sont pas ma passion.
Nous allons donc dans un de ses quartiers préférés, près des grands magasins. Il y a là quantité de boutiques de styles différents, très à la mode en général. Malvina s'aperçoit rapidement que la mode de cet hiver ne lui plaît pas tellement. Elle qui aime les chaussures à talons hauts et fins ne voit que des gros talons carrés et les matières comme les couleurs, plutôt rétros, ne sont pas du tout à son goût.
Comme on approche de la fin de l'après-midi, elle commence à s'impatienter et maudire cette mode de "grand-mère baba cool" quand nous tombons enfin devant une vitrine plus prometteuse. On vend ici à la fois des chaussures et des ensembles d'un style qui lui convient tout à fait.
Nous entrons, jetons un coup d'œil et Malvina demande déjà à essayer quelques chaussures. Elle sélectionne quelques paires d'escarpins et cherche parmi les jupes. La vendeuse lui propose de continuer à choisir tranquillement, mais comme elle souhaite ne plus prendre de client pour aujourd'hui, elle ferme la porte à clef et baisse le rideau.
Un peu plus tard, alors que je viens de regarder ma montre, la vendeuse attire mon attention en me prenant par le coude tout en m'adressant un regard chargé de reproche. Un peu désappointé, je me tourne vers Malvina. Elle vient de passer un tailleur en cuir noir, avec une jupe droite et de chausser une paire de bottes vernies noires à talons hauts. Malgré tout, le plus remarquable n'est pas son allure mais son regard qui exprime sa colère :
- Je t'appelle pour que tu me donnes ton avis sur cette tenue, et toi tu ne m'écoutes pas et tu regardes ta montre ! Est-ce que tu t'ennuies à ce point ? Il me semble que c'est quand même en partie pour te plaire que je soigne ma tenue et tu pourrais y prêter un peu plus d'attention. Evidemment, toi il ne te faut pas longtemps pour mettre un jean et un tee-shirt, mais tu devrais comprendre qu'une femme a besoin de plus de temps pour s'habiller et se préparer.
Je tente de m'excuser, de lui dire que oui, j'imagine, mais ça semble la mettre encore plus en colère.
- Ah tu imagines ? C'est bien mais si tu essayais vraiment, tu verrais que ce n'est pas si simple et tu ne regarderais plus cette stupide montre.
A ce moment, la vendeuse intervient pour soutenir Malvina, soulignant que son élégance mérite un peu plus de respect et de considération de la part de son mari. Elle ajoute qu'effectivement, si je savais vraiment ce que représente le fait de s'habiller et de s'apprêter je manifesterais moins d'impatience. D'ailleurs, ajoute-t-elle, si Malvina veut mettre à l'instant en pratique cette leçon pour son ami, c'est tout à fait possible et elle peut compter sur le soutien actif de la vendeuse.
A peine calmée mais déjà souriante, Malvina m'ordonne de me déshabiller et me dit qu'elle est curieuse de voir combien de temps il faudra pour faire de moi une femme un tant soit peu acceptable. Surtout, pas question d'accepter que je me contente d'une tenue détendue et simple. Je dois montrer à quoi je ressemble dans la tenue la plus féminine possible.
Je dois d'abord passer une culotte et un soutien-gorge en satin noir. Les bonnets du soutien-gorge sont rembourrés rapidement par des bas roulés en boule pour me faire un semblant de poitrine, et la culotte est choisie particulièrement ajustée pour masquer mon sexe.
Malvina choisit ensuite un corset de satin qu'elle serre avec l'aide de la vendeuse. Plusieurs fois, au moment où j'ai l'impression qu'il est impossible de le serrer davantage, elles profitent de ce que j'expire un peu d'air pour tirer encore sur les lacets. Elles s'estiment satisfaites une fois que ma taille est vraiment réduite et ma silhouette convaincante. A ce moment, il ne m'est plus possible de plier le buste.
- Il faudrait maintenant qu'on puisse épiler tes jambes, mais ce n'est pas l'endroit idéal pour ça. On va masquer ces vilains poils.
Elles me font donc mettre des bas noirs opaques et brillants, qui galbent mes jambes et se fixent au corset, et leur contact très agréable me trouble d'une manière qui me surprend. En voyant mon visage qui rougit, elles sourient toutes les deux car elles comprennent que je serais maintenant de plus en plus docile.
Malvina me fait ensuite passer une jupe de cuir noir, droite et longue qui ne lui plaît pas totalement. La vendeuse intervient pour dire qu'elle trouve cette jupe effectivement beaucoup trop large et pas assez stricte, alors qu'elle me semble pour ma part assez moulante. Elle insiste sur le fait qu'à son avis je suis un impertinent qui a besoin d'être repris en main, et que je n'ai pas besoin de confort mais de discipline. Elle me trouve une jupe taillée dans un cuir épais mais souple et brillant. Je me glisse dedans et j'ai d'abord l'impression que je ne pourrais même pas y loger mes cuisses tant elle est moulante. Les deux femmes me pressent, en me disant qu'elle convient parfaitement et qu'il est inutile d'essayer de faire des histoires. En me trémoussant, j'arrive finalement à la passer et à l'attacher à la taille. Des genoux jusqu'aux reins, je me retrouve pris dans un fourreau de cuir qui me moule totalement, serrant mes cuisses l'une contre l'autre et plaqué sur mes fesses déjà soulignées par le corset.
Malvina me regarde d'un oeil critique, estimant que ça pouvait passer comme première tenue. Elle me fait ensuite essayer une paire d'escarpins noirs vernis à hauts talons, sur lesquels je marche difficilement. Elle demande à la vendeuse si des talons plus bas ne conviendraient pas mieux, mais celle-ci n'est pas du tout d'accord:
- Et pourquoi pas des talons plats ! Non, les hommes peuvent porter des talons plus hauts que ceux-là, mais il y met de la mauvaise volonté. D'accord, il n'est peut-être pas habitué, mais dans ce cas il faut agir autrement. Pas question de réduire la taille des talons, il serait trop content.
Elle va dans l'arrière-boutique et en revient avec une paire de bottines vernies noires aux talons littéralement vertigineux. La semelle plate-forme les compense un peu mais ils me paraissent tout de même redoutables. Je glisse mes pieds dans ce qui me semble plus à des pièges qu'à des chaussures et serre soigneusement les lacets, et les courroies qui les ferment au-dessus de la cheville. Absolument persuadé que je ne pourrais jamais marcher perché là dessus, je me lève et je suis surpris de me sentir relativement à l'aise. La tige des bottines maintient bien mes chevilles pas habituées aux talons aiguille, et les chaussures ne me paraissent pas aussi hautes maintenant que je les ai aux pieds. Malvina convient que je pourrais même porter de plus hauts talons mais trouve que ça n'est déjà pas si mal pour l'instant.
- Marche un peu, ne reste pas là comme une potiche !
Quand il s'agit de faire un pas, ce n'est plus tout à fait la même chose. D'abord hésitant et maladroit, ce qui les fait bien rire toutes deux, je comprends rapidement que moulé dans le cuir comme je le suis et perché là-dessus, il ne faut pas chercher à faire autre chose que de petits pas. Une fois ceci compris, je marche lentement mais correctement. La vendeuse m'explique comment tourner sur la pointe de la chaussure et pas sur le talon, me montre comment poser la semelle bien à plat, me corrige jusqu'à ce que ma démarche lui semble naturelle et pas trop déhanchée. Je suis le premier surpris du peu de temps qu'il m'a fallu pour être bien sur ces talons aiguille, et encore plus du plaisir que j'ai à les porter.
- Tu vois bien qu'avec un peu d'entraînement tu pourrais marcher sur des talons de 18 centimètres. Les hommes sont tellement à l'aise avec des très hauts talons que j'en suis parfois jalouse. Mais je sais bien de quelle manière éviter qu'ils n'en soient fiers.
De toute évidence, cette femme n'en est pas avec moi à son coup d'essai.
- Ca commence à prendre tournure. Tu vas t'asseoir qu'on finisse de s'occuper de toi.
Martia, la vendeuse, sort sa trousse de maquillage et me passe d'abord un fond de teint sur le visage. Elle me met le rouge à lèvres le plus vif et maquille mes joues et mes paupières. Pour parfaire ma tenue, elle me fait mettre un corsage taillé dans un cuir d'agneau très fin, et des gants de cuir noir. Ceci pour cacher, dit-elle, mes mains qui ne sont tout à fait aussi fines qu'il le faudrait. Maintenant que mon travestissement est terminé, elles me regardent toutes les deux en souriant, commentant mon allure "mauvais genre" et les progrès qu'il me reste à faire pour me comporter d'une manière plus naturelle dans cette tenue.
Martia, enfin, m'autorise à me regarder dans un grand miroir en pied. Je traverse à petits pas le magasin, mes vêtements de cuir bruissent doucement, et je suis bien surpris en voyant mon image. Ce que je vois me plaît beaucoup plus que je ne pouvais l'imaginer, et en plus de l'aspect provocant et sexy, j'adore la sensation donnée par cette tenue moulante, et ce sentiment de vulnérabilité.
- Même avec notre aide, tu as mis un temps infini pour t'habiller, et nous avons failli perdre patience. J'espère que tu feras de sérieux progrès pour te préparer sans aide et beaucoup plus rapidement à l'avenir. Si tu n'apprends pas rapidement et ne perfectionnes pas ton allure féminine, tu risques alors de sérieuses punitions. Malvina, je pense, me tiendra au courant de tes progrès et de ton application. Je compte sur elle aussi pour me faire part de tes éventuelles fautes ou négligences, et saches dés maintenant que nous saurons te les faire payer.
En bien peu de temps, aussi vite que mon aspect avait été transformé, le ton des deux femmes à mon égard avait changé.
Se détournant de moi, Martia propose à Malvina de venir prendre un verre chez elle, car elle habite à deux rues du magasin.
- Bien sûr, dit-elle, tu peux te faire accompagner par ta soubrette, nous saurons bien la rendre utile.
Elles commencent toutes deux à prendre leurs affaires et je comprends qu'il n'est pas question que je me change et que je dois conserver ma tenue pour sortir. Ne me trouvant pas convenable pour les accompagner, Martia me tend un très long imper en vinyle serré à la taille par une ceinture, et un chapeau avec voilette qui dissimule un peu mon visage trop maquillé. De cette manière, même si je ne fais pas totalement illusion, j'ai au moins l'assurance de l'anonymat.
Inutile de dire que quand nous sortons dans la rue, j'ai le cœur qui bat à toute vitesse. Je marche à côté des deux femmes et j'ai vraiment l'impression que tout le monde me regarde. Je me raisonne en me disant qu'après tout il n'est pas surprenant qu'on regarde une femme cintrée dans un grand ciré noir, perchée sur des talons vertigineux, portant une voilette et marchant à tout petits pas ! Et pas obligatoirement parce que c'est peut-être un homme... Je m'avise en plus qu'avec ces bottines et mon chapeau, ma tête doit dépasser et que ce n'est pas fait non plus pour m'aider à passer inaperçu. Certaines femmes me regardent et semblent sourire avec l'air entendu de quelqu'un qui a saisi les détails de la situation. Il faut dire que je ne suis pas encore très à l'aise sur mes talons. En plus, Martia et Malvina discutent avec entrain et commencent à me distancer, ce qui n'est pas très difficile. Je commence à m'en inquiéter sérieusement, car je n'ai pas du tout envie de me retrouver livré à moi même dans cette tenue à l'extérieur. Entravé par ma jupe de cuir, j'essaie d'accélérer au mieux mon avance, et heureusement nous sommes arrivés et elles m'attendent à la porte de l'immeuble.
Nous entrons dans le hall et croisons la gardienne, à laquelle Martia nous présente. Elle m'attribue dans l'instant le prénom d'Andréa, et je vois bien que la gardienne a tout de suite compris quel genre de femme se cache derrière la voilette. Confirmant par là le fait que notre hôte est accoutumée à ce genre de compagnie, elle se permet même de me caresser les fesses, ce qui fait sourire Martia comme Malvina.
- Alors Andrea, on fait des conquêtes ?
Toutes les trois éclatent de rire et nous nous dirigeons vers l'ascenseur. Comme dans beaucoup de vieux immeubles, la cabine est minuscule. Ce qui est souvent un inconvénient est alors très excitant. Serré dans ces vêtements sexy, je ne peux pas m'opposer à l'assaut de ces deux femmes qui profitent de ce court trajet pour me caresser, se presser contre moi, faire bruisser ces matières excitantes dans lesquelles elles se sont amusées à m'enfermer.
Quand nous arrivons à la porte de l'appartement de Martia, inutile de dire que je suis à bout de souffle. Pourtant mes surprises sont loin d'être terminées.
Chapitre 2 : une soubrette en latex
Dès que nous sommes dans l'appartement, Martia se tourne vers Malvina et lui explique que si je dois assumer le rôle de soubrette pour la soirée, alors il n'est pas question que je le fasse sans porter l'uniforme qui convient. Malvina est tout à fait d'accord, elle a toutes les raisons d'être heureuse des choix de Martia jusqu'à maintenant. Elle ajoute d'ailleurs qu'il ne faut pas hésiter à me faire porter une tenue stricte, qui me rappelle ce qu'est la discipline et à qui je dois obéir.
Elles vont toutes les deux vers la chambre de Martia en m'ordonnant de les suivre. Martia ouvre une penderie remplie de vêtements aux matières toutes plus excitantes les unes que les autres. Comme elles me tournent le dos toutes les deux, je ne vois pas ce qu'elles sélectionnent pour moi, mais les petits rires de Malvina me donnent à penser que ma prochaine tenue va être difficile à porter, même comparée à ma tenue actuelle.
Elles m'emmènent à la salle de bains et me font me déshabiller. Martia me reprend plusieurs fois pour m'obliger à plier mes vêtements correctement :
- Nous ne voulons pas d'une fille négligée. Tu as intérêt à te montrer plus soigneuse si tu veux éviter que je passe à une éducation plus dure.
Malvina me donne une boîte de talc et me conseille de m'en poudrer complètement, sans hésiter sur la quantité. J'obéis sans en voir pour l'instant l'utilité, et je commence à comprendre quand Martia me tend la première pièce de ma tenue et que je m'efforce de rentrer dedans. Il s'agit de collants très serrés en latex noir, qui collent à mes jambes et que je ne parviens à faire monter que centimètre par centimètre. Il est clair que sans le talc, ce serait peine perdue. Moulés jusqu'au dessus de la taille, ces collants me font en plus office de culotte. Bien que le contact du latex soit froid au départ, quand j'ai fini de me glisser dans cette gaine j'ai déjà beaucoup plus chaud. L'effort que j'ai dû faire commence à me faire transpirer et je dois m'essuyer et me talquer à nouveau.
Viennent ensuite un soutien-gorge en latex garni de faux seins doux et souples, et de longs gants en latex montant jusque sous l'épaule. Là encore, c'est une bataille pour les enfiler. Martia me prévient que je dois de plus les lisser parfaitement, qu'elle n'admettra pas un pli sur ces gants comme sur les collants. Ils sont fins et peuvent coller intégralement à la peau.
J'ai un moment de surprise quand Malvina, qui est debout derrière moi, glisse sur ma tête une cagoule en latex. Cet accessoire-là aussi est très ajusté, et pendant qu'elle la met en place les trous ne tombent bien sûr pas en face de ma bouche, mes yeux et mon nez. Pendant quelques secondes, je suis donc aveugle et privé de souffle.
Enfin, j'ai droit à la dernière pièce de ma tenue qui est une robe de soubrette en latex elle aussi. Les manches sont courtes et bouffantes, et laissent apparaître mes gants, et elle descend jusqu'aux genoux, très moulante et muni d'un petit tablier blanc. Elle est faite d'un latex qui me paraît franchement épais, et la passer n'est franchement pas facile. Elle glisse bien évidemment assez mal sur les collants et je dois vraiment serrer mes jambes l'une contre l'autre et me contorsionner pour l'enfiler. Une fois mes bras passés dans les manches, Malvina remonte le zip qui la ferme dans mon dos. Elle doit pour cela bien tendre le latex sur mon buste, tant la robe est ajustée, et gagner petit à petit vers le haut. Elle finit par la boucler entièrement, jusqu'au col montant qui vient se refermer sur mon cou déjà pris dans la cagoule. Cette robe très moulante m'oblige à me tenir très droit, et c'est à vrai dire plus un instrument de servitude qu'un vêtement.
Ma tenue est bien sûr complétée par une paire de chaussures à talons hauts. Il s'agit cette fois d'escarpins vernis noirs, à la semelle très fine et qui sont lacés sur le coup de pied. Martia en talque l'intérieur pour que mes pieds enveloppés de latex puissent s'y glisser et je les lace. Les talons sont très hauts mais la cambrure est si bien dessinée que je m'y sens finalement très à l'aise. C'est préférable car je sens que je vais les porter pendant un bon moment.
En faisant quelques pas dans la pièce me viennent tout un tas de sensations contradictoires. Les sons émis par mes vêtements dès que je bouge, qui montrent à quel point chaque partie de mon corps est moulée dans le latex, m'apportent une certaine gêne mais aussi une certaine excitation. Le fait de sentir à chaque mouvement cette matière moulante qui me retient et limite au plus court ma liberté, me rappelle à chaque geste que je suis maintenant un jouet pour les deux femmes. En même temps, je suis maintenu dans un cocon et la pression exercée par le latex sur mon corps est à la fois un lien et aussi une caresse permanente. Rien d'étonnant à ce que je sois en même temps intimidé et troublé par le port de cette tenue. Autant la tenue précédente que m'avaient imposée Martia et Malvina m'avait déroutée par sa féminité et son coté provocant, autant celle-ci est excitante à porter et me met en état d'accepter toutes les soumissions.
- Tu t'es maintenant assez occupé de toi, il ne faudrait pas que tu oublies que tu es à notre service.
Martia m'entraîne à nouveau vers la chambre et m'ordonne de me tenir près d'elle devant l'armoire.
-
Malvina, je pense que tu ne vois pas d'inconvénient à ce que je choisisse pour toi ta première tenue. Bien sûr, tu as ton mot à dire sur la question mais j'aimerais que tu me laisses choisir pour cette fois. Je crois que je vois bien ce qui correspond à ton style.
-
Quand je vois de quelle manière tu t'es encore occupée de notre soubrette cette fois-ci, je ne vois pas pourquoi je ne me fierais pas à toi. Je suis certaine d'apprécier.
Je me tiens donc près de Martia qui pose sur mes bras les vêtements au fur et à mesure qu'elle les sélectionne dans la penderie et sur les étagères. Il n'y a pour l'instant aucune chaussure car elles sont rangées dans un autre placard, et finalement elle me demande de tout poser sur le lit. Je dois d'abord aider Malvina à se changer. Elle se déshabille rapidement, et bien qu'elle soit souriante, je sens qu'elle est un peu nerveuse. Rien d'étonnant car si la situation n'est pas déplaisante, elle est à la fois excitante et inhabituelle. Martia est de toute évidence une amoureuse du latex, car c'est encore dans cette matière qu'est moulé le body qu'elle a choisi pour Malvina.
Après l'avoir talquée, je dois donc l'aider à enfiler cette gaine noire et brillante qui la serre au plus près. C'est d'autant plus difficile que les manches sont longues et les formes particulièrement ajustées. Le body se ferme par un zip dans le dos et se termine par un col montant.
Je l'aide ensuite à se glisser dans une jupe longue, toujours de latex noir qui est zippée dans le dos. Elle descend jusqu'à ses chevilles et est d'une coupe très droite. A vrai dire, il est clair que si je ferme cette jupe jusqu'en bas, elle ne pourra plus marcher tant elle me semble moulante. Pour l'instant, à sa demande, je ferme le zip seulement jusqu'au haut de ses cuisses, de telle manière que le latex moulant souligne merveilleusement ses fesses et son ventre plat.
Viennent ensuite des gants mi-longs et un très long peignoir aux manches amples dans la même matière, pour compléter cette tenue qui se veut tenue d'intérieur.
Martia sort quelques instants pour chercher des chaussures adaptées pour Malvina, après lui avoir demandé sa pointure.
-
Je te trouve superbe comme ça ma chérie.
-
Et moi je te trouve bien impertinent. Au lieu de profiter de l'absence de Martia pour m'adresser la parole sans égard, tu ferais mieux de te mettre à genou à mes pieds, en attendant de pouvoir me chausser. Et baisse la tête si tu ne veux pas que je regrette tout de suite d'être trop gentille. Encore un écart comme celui-là à la discipline, et nous devrons parler d'une punition apte à corriger ta mauvaise éducation.
Martia entre à ce moment sans donner l'air d'avoir entendu quoi que ce soit. Mais je pense qu'elle a suivi de loin la réflexion de Malvina et qu'elle a tout lieu d'en être satisfaite.
Elle me tend les chaussures qu'elle a ramenées et qui sont de vraies petites merveilles. Ce sont des bottes de latex rouge et brillant dont la tige monte jusqu'au genou et fermées par un zip. Elles ont des talons aiguille très hauts mais compensés par une semelle épaisse. Je chausse Malvina qui se lève ensuite pour faire quelques, tenant à me montrer ce qu'est la grâce féminine. Elle ferme son peignoir de latex et le serre à la taille avec la ceinture. Quand elle bouge, le doux bruissement du latex l'accompagne.
- Reste à genou tant que je ne te demande pas de te lever, mais rien ne t'empêche de me regarder... et encore moins de m'admirer.
Elle me regarde, tourne lentement sur elle-même et se rapproche doucement de moi. Elle finit par être si près de moi que son ventre moulé dans le latex vient au contact de mon visage cagoule. Sensuelle, elle met ses deux mains derrière ma tête et vient plaquer mon visage contre elle, en me caressant la nuque. Elle sait bien que ce geste tendre que j'adore d'habitude est différent à présent. La tête enfouie dans les plis de son peignoir en latex, j'ai du mal à respirer, mais ce doux étouffement ajouté à la pression de ses mains commence à m'exciter et j'entreprends de caresser ses jambes.
Dés que je la touche, elle réagit en giflant mes mains.
- Qui t'as donné l'autorisation ? Maintenant lèves-toi.
Je dois maintenant aider Martia à passer la tenue qu'elle s'est choisie elle-même, faite aussi entièrement de latex. Je la talque entièrement et lui passe un body de latex noir qui ressemble beaucoup à celui de Malvina. Très moulant, il monte aussi jusque sous le menton mais n'a que des manches courtes. De plus, il a trois petites ouvertures de plus qui laissent libres la pointe de ses seins et son sexe. Martia tient à garder toute sa liberté, et me montre qu'on peut adorer porter des vêtements en latex en toute circonstances sans pour autant s'interdire toute improvisation érotique... ou finalement comment être plus que nue.
Je lui enfile ensuite de superbes gants en latex noir qui montent très haut sur ses bras, allant rejoindre les manches courtes de son body. Ils sont très serrés sur sa peau et il me faut pas mal d'effort pour les enfiler complètement et surtout les lisser au mieux pour ne laisser aucun pli. Inutile de dire que Martia n'aimerait pas du tout que je bâcle ce travail.
Je dois ensuite lui mettre un corset noir, très serré et qui se lace devant. Pendant que je suis debout devant elle, à serrer progressivement et soigneusement les lacets, elle me taquine en se moquant doucement de moi:
- Alors bonniche, ça te plaît de serrer des liens ?
Comme je ne réponds pas (et je sais que je n'ai pas intérêt à le faire), elle insiste en caressant mes hanches, et laisse intentionnellement ses gants frôler mon sexe moulé dans le latex.
- Ca te va tellement bien d'être aussi bien moulé dans le latex, mais j'ai l'impression que ça te plairait aussi de m'y attacher.
Elle entend bien à ma respiration qui s'accélère qu'elle commence à faire mouche et pousse encore un peu plus loin, tout en continuant à me caresser, passant du plat de ses main gantées au bout des doigts. Ses mains glissent en bruissant sur ma tenue de latex, et font davantage de bruit quand elle s'attarde et insiste sur un endroit précis.
- Tu aimerais me voir dans un long fourreau en latex, jambes et bras attachés, et supplier pour qu'on me libère ? Tu m'imagines liée sur le sol et bâillonnée, dans une combinaison de latex. Je m'épuiserai à chercher vainement à me libérer en me contorsionnant. Mes mouvements inutiles dans ma prison de caoutchouc n'auraient pour résultat que de m'exciter tout en pompant mes dernières énergies.
Pendant que je continue à lacer son corset, elle insiste encore :
- Tu aimerais me faire ça et me voir réduite à ta merci ? Eh bien ce n'est pas à l'ordre du jour ! Pour l'instant, salope, tu vas te mettre à genou et enfiler mes bas. Je vois que tu commences à comprendre qui commande ici, mais veilles à ne pas te relâcher.
Je sais que je n'ai rien d'autre à faire qu'obéir, même si les choses qu'elle a évoquées pour moi m'ont excité, et c'est le plus soigneusement possible que je passe et lisse les bas de latex noir sur ses jambes. Ils montent en haut de ses cuisses et s'attachent à son corset.
Nous sommes maintenant trois dans cette petite pièce à être entièrement vêtus de latex, et nos mouvements et notre chaleur ont libéré dans l'air les arômes caractéristiques, que reconnaissent si vite ceux qui ont déjà porté souvent des tenues dans cette matière, et que déjà je commence à associer à des situations particulièrement excitantes.
Martia me demande de poser sur ses épaules sa cape de latex. Très longue, elle est ornée d'un galon rouge qui contraste avec sa couleur noire et a un col très large. Elle se ferme au cou par deux lanières et des boucles et une fois sur ses épaules prend un très beau plissé.
Elle s'assoit ensuite sur le bord du lit et m'ordonne de lui chausser ses bottes, de magnifiques cuissardes en latex rouge avec des talons aiguille impressionnants et une semelle très fine. Je commence par talquer ses pieds pour les faire entrer dans ces superbes écrins, et ça me demande pas mal d'efforts, le latex des bas glissant mal sur celui des bottes. Puis je remonte les zips sur les deux jambes, jusqu'à parvenir finalement à enfermer ses deux jambes dans leur bel étui.
- Pas mal, mais tu dois encore me les ajuster un peu mieux et les faire briller.
Elle me tend pour cela un produit en spray et un chiffon de coton. Après avoir manipulé le latex des bottes de façon à éliminer tous les plis qui pouvaient rester, je commence à me sentir vraiment au chaud dans ma robe et plutôt en sueur. Je vois que Martia, après ce massage énergique, commence à avoir chaud elle aussi et est maintenant assez excitée. Je commence à frotter doucement le bas de ses cuissardes avec le chiffon. Avec le produit lustrant, il glisse doucement et donne un brillant superbe au latex, renforçant sa couleur et rendant le contact encore plus doux. Petit à petit, à genou devant elle, je remonte le long de ses jambes bottées dans mon travail attentif. Quand j'arrive vers le haut de ses cuisses, je suis penché sur elle, un de ses genoux contre ma poitrine. Alors que je continue doucement à lustrer la tige de sa cuissarde, je la sens qui s'amuse à me caresser avec la pointe de sa botte. Elle rit de voir ma respiration s'accélérer.
- Continue ton travail et fait tout ça correctement. Tu dois apprendre à ne pas te laisser troubler par une petite distraction. D'ailleurs, une fois que tu en auras terminé avec mes cuissardes, n'oublie pas mes gants et ma cape, et je crois que Malvina souhaite aussi que tu t'occupes d'elle.
Ainsi je continue, en termine avec Martia et m'occupe de faire briller la tenue de Malvina. Je lustre d'abord ses bottes, ce qui me permet d'admirer encore une fois ses jambes que je connais bien mais que je n'ai pas si souvent l'occasion de voir aussi bien mises en valeur. Je lui enlève sa jupe juste le temps nécessaire pour m'occuper de son body, puis lui remets et la fait briller. Inutile de dire qu'elle apprécie toutes ces caresses et qu'elle adore aussi l'aspect brillant que prend sa tenue de latex. Tous ces vêtements sont encore plus excitants comme ça et mettent encore mieux en relief les formes sur lesquelles ils sont moulés.
Martia me met la main sous le menton et me dit :
- Jusqu'à maintenant tu t'es comporté comme une bonne fille. Comme j'aimerais que ta tenue ne soit pas moins soignée que la nôtre, nous allons nous occuper de toi mais ne va pas croire que ceci inverse les rôles.
Martia prend le chiffon et fait briller mes gants puis le dos de ma robe. Contrastant avec son ton autoritaire, ses mains sont plutôt douces et délicates dans leurs gestes, toujours très sensuelles. Elle adore simplement caresser un corps moulé dans le latex. Elle passe ensuite derrière moi, tend le chiffon à Malvina et lui demande de finir le travail. Elle frotte mes collants jusqu'à obtenir un très beau brillant, puis s'occupe du devant de ma robe.
Martia est dans mon dos et sans que j'ai eu le temps de réagir attrape mes bras et les maintient solidement. Comme je suis coincé, un seul bras lui suffit pour cela et de l'autre main, elle me bâillonne et maintient ma tête contre son épaule. A ce moment je prend d'ailleurs conscience de sa grande taille, accentuée évidemment par la hauteur de ses talons. Malvina sourit et continue à lustrer ma robe, s'amusant de me voir complètement coincé et réagissant sous ses caresses.
- Bien, dit alors Martia, tu es maintenant prête à faire le service.
Chapitre 3 : le service
Assises toutes deux sur le canapé en cuir, Martia et Malvina discutent tranquillement, riant de temps en temps avec un air très complice. A chacun de leurs mouvements, on entend le latex crisser sur le cuir, et elles paraissent tout à fait calmes et détendues. En les regardant plus longtemps, je m'aperçoit en fait à leur voix un peu plus aiguë à présent et à leur teint plus vif qu'elles commencent à être en réalité plus excitées.
Leurs tenues moulantes qui les caressent à chaque geste, leurs corps qui commencent à chauffer dans le latex en développant des parfums discrets mais insistants... et sûrement les jeux qu'elles commencent à imaginer pour elles et pour moi. Il y a là tous les ingrédients pour les rendre de plus en plus nerveuses.
Je me tiens à leur disposition, debout devant elles qui semblent m'ignorer. Je reste pratiquement immobile, autant que possible avec ces chaussures aux talons si hauts que je tangue un peu pour maintenir mon équilibre. Même inactif, je me sens serré de près par cette tenue qui contraint jusqu'à ma respiration. A chaque inspiration, je sens le latex qui comprime ma poitrine, et cette matière qui était froide au départ me tient maintenant très au chaud. Il faut dire que chaque centimètre de ma peau est couvert et moulé.
Martia demande à Malvina ce qu'elle aimerait boire et m'envoie chercher les boissons au bar à l'autre bout de la pièce. Elle me dit que j'ai intérêt à faire un service impeccable dans les règles de l'art avec le plateau... et le style qui convient.
Avec les pas de vingt centimètres que je parviens à faire, le bar me semble à l'autre bout du monde. Je n'ose pas essayer de marcher plus vite ou faire de plus grands pas. Au pire, je crains fort de tomber, et à tout le moins d'avoir une démarche ridicule, trop tordue et trop déhanchée.
Je sais que je suis surveillé de près et qu'il n'est pas question de commettre ce genre d'impair. Les deux filles trouveront sans doute déjà bien assez de motifs pour me punir, et je tiens d'ailleurs réellement à leur donner satisfaction tant je me sens de mieux en mieux dans les tenues qu'elles m'imposent de porter. Enfin parvenu au bar, je leur sert à toutes deux un Porto dans des verres en cristal, que je pose sur un petit plateau argenté. Le retour vers le canapé est plus périlleux pour moi. Je tiens soigneusement le plateau, progresse à petits pas et je finis par me rendre compte que je tiens mieux mon équilibre en regardant deux mètres devant moi au lieu de regarder mes pieds. Je finis par arriver devant elles, soulagé de constater que le plateau est intact et qu'aucune goutte n'a versé.
Malvina me fait remarquer qu'elle préfère son Porto avec de la glace et demande à Martia ce qu'elle en pense. Elle lui répond qu'elle commence à avoir chaud et qu'elle apprécierait effectivement, mais que ce qu'elle appréciait moins, c'est que je n'ai pas pensé à leur proposer.
- Je te rappelle que tu es là ce soir pour nous servir en tout point et que tu ne dois rien négliger. Tu trouveras la glace à la cuisine et tu es prié de ne pas y passer des heures. Tu ferais bien d'apprendre à obéir plus rapidement.
Je repars avec mon plateau vers la cuisine en tachant d'accélérer ma marche, ce qui a bien l'air de les amuser:
-
Alors ma jolie, on a peur de manquer son train, un rendez-vous urgent ?
-
Alors, on a volé les chaussures de sa mère pour faire un tour en ville ?
Je sors du salon, suis un couloir qui me semble interminable et arrive tout de même à la cuisine... où je manque de m'étaler ! Voila qui illustre ma deuxième leçon de marche avec des hauts talons : quelque soit la hauteur des talons, c'est toujours la pointe du pied qui doit toucher le sol en premier, ou encore mieux le talon en même temps que la pointe. Non seulement c'est plus gracieux et ça ménage la colonne vertébrale, mais en plus ça évite de glisser bêtement quand on marche sur autre chose que de la moquette. Quand les talons sont aussi hauts que ceux que je porte à présent, ça tire beaucoup sur les jambes mais tout s'assouplit avec un peu de persévérance. Et je sais que si je manque de persévérance justement, d'autres en auront largement assez pour moi. En attendant je m'appuie un peu sur le frigo pour reprendre mon souffle et mon équilibre, puis je l'ouvre pour y prendre de la glace. Comme je dois me baisser pour prendre le bac à glaçons, je sens à quel point ma robe s'oppose à mes mouvements. Je mets de la glace dans les verres et reprends mon chemin vers le salon. Le couloir me paraît tellement long par rapport à ma lenteur que je me demande s'il va rester de la glace d'ici que j'arrive à destination, d'autant plus que moulé dans le latex je commence à avoir chaud et que j'ai l'impression d'avoir changé de climat. D'autre part avec la glace, le niveau a monté dans les verres et je dois m'appliquer encore plus pour ne rien renverser.
Au début ça se passe assez bien, ce qui prouve qu'avec de la bonne volonté et des professeurs qui savent vous motiver... mais assez rapidement j'ai plus de mal à garder ma concentration. En effet, les aller et retours de mes jambes font que mes bas en latex tirent sur ma robe à chaque pas, et à chaque pas ma robe presse mon sexe qui commence à réagir à la sollicitation. J'ai fort à faire pour me calmer et je suis obligé de ralentir et de raccourcir mes pas pour faire baisser mon excitation.
Quand j'arrive finalement devant ces dames, elles devinent facilement l'état dans lequel je me trouve en entendant ma respiration. De toute manière, cette robe moulante en latex ne cache en fin de compte pas grand chose de mon érection, même contrariée par les collants ! En plus, évidemment, quelques gouttes de Porto ont versé sur le plateau et j'ai mis bien plus de temps que je n'aurais voulu.
- Est-ce que tu crois que c'est une manière acceptable de te présenter devant nous, me lance Martia. Tu souffles, tu te postes devant nous en bandant comme si nous n'attendions que ça, et en plus tu n'es pas capable de nous servir correctement à boire. Ce plateau est dégoûtant et c'est encore heureux qu'il y ait quelque chose dans les verres ! Tu vas me faire le plaisir de recommencer et de te présenter cette fois-ci plus rapidement devant nous et dans une tenue correcte. Tu n'auras pas cinquante occasions de te racheter, alors fais bien attention !
Elle me regarde en mimant la colère et commence à sourire. Mais son sourire me fait plutôt penser à l'expression du chat qui regarde une souris.
- Je ne sais pas si c'est la bonne manière de te faire la leçon, j'ai l'impression que je t'excite en te parlant comme ça et je ne suis pas sûre que ça t'incite à faire attention. Mais à ta place j'y réfléchirai plutôt deux fois qu'une : les punitions les plus subtiles peuvent être difficiles à supporter et je ne manque pas d'imagination, crois-moi.
Cette fois-ci, avec un peu plus d'attention et l'habitude qui commence à venir, mon service est plus convenable et j'arrive enfin à servir comme il faut un verre à ces dames ! Elles ont bien garde de ne pas me remercier et ont tôt fait de m'en demander un nouveau.
Cette fois-ci, Martia me demande d'aller chercher une bouteille de Champagne et de servir trois flûtes.
- Si je souhaite que tu prennes un verre avec nous c'est que tu es aussi mon invité, mais tu as compris que ça ne te donne pas tous les droits. Allez, montre-nous que tu es une bonne petite bonniche et que tu sais faire le service rapidement, et avec un minimum de style.
Je pars préparer le Champagne à la cuisine, pose la bouteille et les trois verres sur le plateau. Une fois retourné au salon, je pose le tout sur la table basse qui est à côté du canapé et débouche la bouteille. Je verse le Champagne, remplissant tour à tour et progressivement les trois verres. Martia me regarde faire l'air approbateur :
- Tu commences à te débrouiller assez bien. Comme tu progresses au niveau de ton style et ta démarche, nous allons corser un peu la difficulté pour que tu t'améliores encore. Mais franchement, ça n'est pas mal et je me demande si tu n'as pas déjà l'habitude de porter ce genre de tenue.
En disant cela elle regarde Malvina en souriant et ajoute :
- En ce qui me concerne, je serais d'avis que tous les hommes apprennent à porter avec naturel des vêtements féminins moulants et des hauts talons, et à faire le service. Ils ont imposé ça aux femmes pendant assez longtemps, alors je pense que ça serait bien leur tour. Et ils sont si mignons comme ça! Bon, tu vas me suivre dans la chambre, nous allons améliorer un peu ton maintien.
Nous allons tous trois dans la chambre et Martia sélectionne deux accessoires dans l'armoire. Elle me fait mettre moi-même le premier, une chaîne qui relie mes deux chevilles, auxquelles elle est accrochée par des courroies de cuir fermées par des boucles. La chaîne est réglable en longueur et Martia ne me laisse que vingt centimètres, estimant que c'est ce qui me convient pour me donner une démarche plus féminine. Elle me boucle ensuite autour de la taille une ceinture de cuir large, qu'elle serre vigoureusement après m'avoir ordonné d'expirer.
-Voila qui améliore déjà un peu ta silhouette. Mais je n'ai pas fini.
Sur les côtés, fixés à cette ceinture par des mousquetons se trouvent deux bracelets de cuir. Elle les ouvre et les referme sur chacun de mes bras juste au-dessus du coude, et ferme les boucles. Quand elle a terminé, mes deux bras sont maintenus jusqu'au coude le long de mon buste, et seuls mes avant-bras conservent leur liberté. Voila qui restreint encore sérieusement ma liberté, et même si Martia m'en laissait le loisir, je serais maintenant bien incapable de me déshabiller ni même de me libérer de cette ceinture ou de la chaîne qui relie mes chevilles.
J'étais de plus en plus leur jouet, et ça avait l'air de leur plaire.
- Bien, il te reste de toute manière assez de liberté pour ce que nous attendons de toi. Mais par contre, tu commences à être assez sexy et à ressembler à ce que j'appelle une bonniche présentable. Assez commenté, va au salon maintenant, nous te suivons.
Je sors de la chambre et m'aperçoit dés les premiers pas de la manière dont la chaîne limite encore ma capacité à marcher. Mais j'ai maintenant bien compris que je dois adapter soigneusement la longueur de mes pas et ça se passe assez bien.
-
Pas mal, finit par dire Martia derrière moi, je pense que nous allons pouvoir d'ici un moment lui faire porter des talons plus hauts. Qu'en penses-tu Malvina ?
-
Il se débrouille bien, mais je pense que si nous voulons qu'il marche vraiment parfaitement avec des hauts talons classiques, il faudra que nous l'entraînions avec des chaussures encore plus hautes que celles-là. De toute évidence il est assez doué, et ce serait dommage de ne pas lui faire cultiver ce talent.
De retour au salon, elles s'assoient toutes les deux et Martia me demande de les servir. Maintenant que j'ai les coudes maintenus fermement à la taille, la manœuvre est plus difficile et je dois me pencher assez bas pour prendre les verres, ce que rien ne facilite dans ma tenue. Evidemment, elles n'ont aucune intention de me faciliter les choses, et comme je pouvais le craindre, en servant son verre à Martia je renverse quelques gouttes qui coulent le long de ses bottes. Elle ne met bien sûr pas longtemps à réagir :
- Non mais où te crois-tu ? Tu n'es pas dans un bistro à trois sous ici !
Comme je ne réagis pas assez vite à son goût et que je commence à bredouiller des excuses elle reprend :
- Il ne s'agit pas de t'excuser, mais de te mettre à genou tout de suite et de nettoyer ça immédiatement !
Tant bien que mal, gêné par ma chaîne et ma ceinture, je me mets à ses pieds et me sens tout de suite un peu stupide de tenter d'essuyer ses bottes de mes mains gantées. Essuyer des bottes en latex quand on porte soi-même des gants de la même matière n'est pas bien efficace.
- Idiot, est-ce que c'est une façon de s'y prendre, tu ne sais donc rien faire tant que je ne t'explique pas tout par le menu ? Avec la langue, lèche mes bottes, bonniche, et débrouille-toi pour que ça brille !
Plié en deux, je prends entre mes mains le pied que Martia me tend et commence à lécher le latex partout où le Champagne a éclaboussé. Je m'applique, stimulé par ses ordres et ses promesses de m'en faire voir si tout n'est pas nickel. Je remonte progressivement vers le genou et en termine avec les dernières gouttelettes, pensant bien être quitte de ma tâche pour cette fois.
Mais Martia, tout en souriant, me regarde et incline légèrement son verre, faisant couler un filet de Champagne le long de sa cuissarde, l'amenant comme une trace à suivre jusqu'en haut de ses jambes.
- C'est ça que tu appelles du travail, petite salope ? Tu n'as pas terminé, il y en a partout ! Alors maintenant actives-toi et je veux sentir un peu plus d'énergie et d'enthousiasme dans tes coups de langue.
Je recommence depuis le bas de sa botte et remonte le long de la tige. Sans ménager mes efforts, je nettoie le latex et caresse sa jambe en la tenant, et je sens qu'elle commence à apprécier mon travail. J'arrive maintenant vers le haut de la tige de sa cuissardes et elle commence bien sûr à guider ma tête entre ses cuisses, m'incitant à remonter vers son sexe.
Elle écarte les jambes pour que je puisse m'avancer en position et les resserre sur moi. Comme je suis déjà à moitié entravé, je n'ai maintenant quasiment plus aucune liberté de mouvement, et surtout aucune possibilité de m'écarter. Il faut dire d'ailleurs que je n'en ai pas du tout l'intention. M'encourageant par la parole, elle caresse ma tête de ses mains gantées et ma cagoule est tellement moulante que j'ai l'impression de ressentir ses caresses encore mieux que si j'étais tête nue. Elle commence à bouger en rythme avec mes coups de langue, et ses bottes viennent par moment frotter mon ventre et mon sexe, rien de tel pour me soutenir dans l'effort ! Elle ramène sa cape de latex sur moi et continue à me caresser, plaquant la cape des deux mains sur ma tête.
J'étouffe presque par moment, elle me laisse juste ce qu'il faut d'air pour respirer un minimum, et m'oblige du coup à bouger davantage. Tous les mouvements que je fais pour chercher de l'air lui arrache des gémissements de plaisir et nous excitent tous les deux. Elle me tient si serré que ma bouche reste collée à son sexe malgré mes gestes désordonnés Quoi que je fasse, je suis maintenu et elle est maintenant tellement mouillée que le latex fait entendre son bruit en permanence. Elle finit par jouir avec des mouvements très amples, et serre les jambes si fort que j'en suis étourdi... et que je finis par jouir aussi. Je sens mon sperme gicler dans le collant en latex et ne peut retenir un cri, tout en sachant déjà que je serais puni pour avoir osé jouir en sa présence.
Chapitre 4 : une séance de cinéma
Je suis encore à bout de souffle, et je vois tout de suite que les deux furies sont bien décidées à ne me laisser aucun répit ! Alors que je suis encore à genou, coincé entre les cuisses de Martia, je sens Malvina agenouillé dans mon dos qui tire mes bras en arrière et entreprend de m'attacher.
Je serais bien en peine de me défendre, et elle a tôt fait de les serrer énergiquement des poignets jusqu'aux coudes, après quoi je suis vraiment complètement à sa merci.
Martia se lève et échange sa place avec celle de Malvina, s'asseyant derrière moi pour mieux me contrôler. Entravé comme je suis, elle n'a pas grand effort à faire pour cela... Elle me montre tout de même encore une fois qu'elle a l'habitude de maîtriser un homme et de ne lui laisser aucune chance de se rebeller. Il lui suffit en effet de tenir mes poignets attachés dans une seule de ses mains, de manœuvrer mes bras comme le levier d'une pompe pour m'obliger à me redresser ou à me courber. Rien de plus facile pour elle que de guider ma bouche jusqu'à ce qu'elle soit à la bonne hauteur, c'est à dire cette fois-ci au niveau du sexe déjà chaud et mouillé de Malvina.
Après ces efforts de mise en place et la manière dont je viens de m'occuper de Martia, pas étonnant qu'elle soit déjà bien excitée ! Ces petits jeux nous occupent un bon moment et nous laissent tous trois essoufflés et comblés, mais Martia ne me laisse pas respirer longtemps :
- Bien, suis-moi à la cuisine, tu as du travail.
Elle me montre ce que je dois préparer et servir. Heureusement, c'est très simple et dans le genre surgelé au micro-onde, car je me sens ni dans la disposition ni dans la tenue adéquate pour me lancer dans une vraie cuisine.
Elles paraissent toues les deux satisfaites de mon service, et me permettent heureusement de manger en leur compagnie, car par le simple fait de m'asseoir et de me détendre un peu, je m'aperçois que j'avais franchement faim. Malvina me taquine d'ailleurs :
- Attention à ta ligne ma chérie, ou nous serons obligées de serrer davantage ton corset à l'avenir et tu ne pourras t'en prendre qu'à toi-même !
A la fin du repas, une fois que j'ai débarrassé la table, Martia propose que nous allions au cinéma. Elle dit à Malvina qu'il est nécessaire pour mon éducation que je m'habitue complètement à sortir en sa compagnie dans des vêtements féminins. Rien de tel pour m'obliger à soigner mon maintien et mon apparence que le regard des passants dans la rue.
Après tout, dit-elle, c'est à moi qu'il appartient de faire ce qu'il faut pour passer pour une femme à la tenue parfois un peu excentrique plutôt que pour un travesti. Elle ajoute qu'avec l'habitude, elle en avait déjà fait plusieurs fois l'expérience, je me moquerais bien qu'on devine que je suis un homme en me voyant passer. En tous cas, il était clair pour elle qu'un manque d'application de ma part serait considéré comme un manque de respect à son égard en particulier, et à celui des femmes en général. Il ne fallait surtout pas que j'espère que ça puisse rester impuni.
Sur ces explications, Martia m'envoie prendre ma douche et m'ordonne de les rejoindre dans la chambre dés que j'en aurai terminé.
- Et ne traîne pas !
Je fais donc aussi vite que possible et les rejoins. Martia, qui a sorti différentes pièces qu'elle a posées sur le lit, m'explique qu'elle tient à me faire passer une tenue très restrictive, tout en faisant en sorte qu'elle reste relativement discrète pour une sortie en public. C'est donc là encore une tenue toute de latex qui m'est destinée. Corset, bas et culotte en constitue les premiers éléments, qui sont complétés par un chemisier assez ample, aux manches bouffantes avec un col officier, qui rappelle les tenues de gouvernante, si ce n'est bien sûr que les gouvernantes latexées ne sont pas franchement classiques.
La jupe qu'on me fait passer ensuite est beaucoup moins ample, et même franchement moulante en restant malgré tout "mettable" pour sortir, car elle s'arrête au genou. Une paire de gants de latex vient couvrir mes mains et des bottes vernies noires, qui montent jusque sous le genou viennent compléter ma tenue. Evidemment, les talons aiguille sont très hauts mais pas davantage que ceux que j'ai porté en venant. Je suis donc plus confiant sur ma capacité à marcher avec. Pour l'instant, ma tenue ne me semble pas me permettre de passer inaperçu à l'extérieur, mais je pense que ce n'est pas terminé.
Je devais maintenant aider les deux femmes à passer une tenue pour sortir, et elles avaient choisi d'être pour ce soir deux jumelles de cuir. Aussi avais-je deux fois le même plaisir de les vêtir de la tête aux pieds. La garde-robe de Martia était littéralement fantastique, et les deux tenues complètes de cuir noir, lisse et brillant, était vraiment fantastiques. Un soutien-gorge à balconnets, un serre-taille, un chemisier en agneau très fin et au col échancré sur les seins, une jupe droite moulante sur des bas noirs à couture, et des escarpins vernis noirs à bride sur la cheville faisaient un ensemble merveilleux.
Pour masquer l'audace de leurs jupes fendues très haut, elles choisirent des manteaux de cuir noir très longs et cintrés. Mais avant de les enfiler et de sortir, elles finirent de s'occuper de moi. J'eus donc droit encore une fois à un maquillage en règle, à une perruque et des boucles d'oreille. Le col haut de mon chemisier masquait ma pomme d'Adam, et le même chapeau à voilette jetait une ombre bienvenue sur mes traits quand même pas assez féminins, malgré les apprêts. Ainsi, j'étais "sortable", si ce n'est que ma tenue intégrale de latex ne serait pas franchement discrète.
Martia me choisit donc un imper taillé dans un vinyle très brillant assez long pour me couvrir jusqu'au haut de la tige de mes bottes. J'étais donc maintenant une citadine acceptable et nous sommes sortis pour nous rendre au cinéma.
Sur le trajet, encadré par mes deux maîtresses, je me sentais de plus en plus à l'aise sur mes talons hauts. Nous discutions agréablement, je commençais à oublier carrément à quel point ma situation était peu ordinaire. Malgré tout, il faisait très doux ce soir, et le simple fait de marcher commençait à échauffer mon corps pris dans le latex. Sans être encore vraiment en sueur, je me sentais chaud et humide...
Nous sommes arrivés devant le cinéma et avons opté pour un film d'action, nous n'étions de toute façon pas d'humeur à suivre une tragédie !
Quand nous nous sommes présentés à la caisse pour acheter les billets, la caissière n'a tout d'abord pas levé les yeux vers nous trois. Comme je la regardais, j'ai vu son nez se froncer légèrement et j'ai réalisé que bien que couverte par l'imper, ma tenue en latex s'était échauffée et commençait à répandre son arôme caractéristique. En plus, si dans la rue avec le bruit ambiant, les sons émis par mes vêtements ne s'entendaient guère, nous étions dans le hall du cinéma à l'écart du brouhaha. En fait, étant un peu en avance, nous étions seuls et même les plus légers mouvements que je faisais naturellement pour maintenir mon équilibre sur mes talons produisaient des sons peu compatibles avec un tissu classique. Les gémissements et le parfum du latex ne devaient pas être totalement inconnus à la jolie caissière, car elle leva les yeux pour nous regarder attentivement. Je me rappelais à ce moment-là que le col de mon chemisier dépassait de mon imper. Ce n'était pas trop visible dans la rue, mais sous les lumières du hall, elle n'eut pas de mal à identifier la matière dont j'étais vêtu et je vis un beau sourire s'élargir sur son visage, en même temps qu'elle s'adressait à moi.
- Mademoiselle, j'ai l'impression que vous portez une tenue très intéressante, et je n'en vois que trop peu. Si vous sortez en ville comme ça, vous n'êtes pas assez timide pour ne pas m'en montrer davantage.
J'hésitais mais Malvina décida pour moi, et passant derrière moi, elle défait ma ceinture et ouvre mon imper. La caissière laisse échapper un souffle admiratif, et apparemment assez excité en découvrant mes vêtements. Me détaillant plus attentivement, elle remarque la bosse que fait mon sexe sous ma jupe trop moulante, que ma culotte même très serrée n'a pas complètement masqué. Elle me regarde avec un sourire plus amusé et une certaine gourmandise.
- Vos amies vous ont bien conseillé et se sont bien occupé de vous. J'espère que vous le méritez et que vous êtes conscient de l'honneur qu'elles vous font. Pour l'instant, je vous souhaite une bonne séance dans notre cinéma !
Nous la remercions et descendons nous asseoir dans la salle. Je suis encadré par Martia et Malvina. Elles savent bien que je n'ai pas l'intention de me sauver, mais tiennent à m'avoir toutes deux à portée de main. La salle est trois quarts vide, ce qui n'est pas trop surprenant pour une séance tardive en semaine.
Dés que la lumière s'éteint, elles commencent toutes les deux à me caresser et bien sûr je réponds à leurs sollicitations. Martia n'entend pas me laisser trop de liberté d'action. Elle sort de son sac un monogant dans lequel elle glisse mes deux bras, qui se retrouvent immobilisés dans mon dos. Le film a une bande son bruyante qui lui permet de faire tout ça discrètement. Malgré tout, elle ne tient pas à m'entendre protester et mets sur ma tête une cagoule de latex zippée sur l'arrière, qui vient se plaquer sur ma bouche et ne laisse libres que mes yeux et mes narines. Je ne peux plus parler et j'entends assez peu. Martia me fait agenouiller et glisse ma tête sous sa jupe fendue. La fente lui permet de m'amener à son sexe sans même enlever la jupe. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle pense à tout. Comme je ne peux sortir la langue, je frotte ma tête emprisonnée dans le latex à son sexe, et ça semble lui convenir tout à fait. Je vois que plus je suis à sa merci, plus elle jouit de la situation.
De ses deux mains, à travers la jupe, elle accompagne les mouvements de ma tête. Pendant ce temps, Malvina lui masse les seins et se caresse. Toutes deux vont doucement et sûrement vers l'orgasme, et moi je suis excité à exploser, mais j'ai l'impression que mon tour n'est pas venu. Au contraire, à genoux tour à tour entre leurs jambes, je m'active à leur plaisir. Au bout d'un moment, elles sont toutes les deux satisfaites et commencent à se calmer.
C'est alors que je vois une silhouette se diriger vers nous entre les rangées de fauteuils. Je commence à me dire que nous avons été trop bruyants et je n'en mène pas large. Les deux filles peuvent prétendre se tenir "convenablement", mais en ce qui me concerne, ni ma tenue ni ma position ne peuvent être qualifiées de convenables, loin de là.
Je m'aperçois finalement que la silhouette en question n'est autre que la caissière. A son attitude, il est déjà évident qu'elle vient bien plutôt se joindre à nous que nous freiner dans nos élans :
-
J'ai l'impression qu'on s'amuse bien ici... Comme ma caisse est fermée, j'aimerai bien profiter de la fin du film avec vous !
-
Avec plaisir, lui réponds Martia en se levant et en la laissant s'asseoir devant moi, viens donc profiter de la meilleure place. A propos, quel est ton petit nom ?
-
Caroline, dit-elle en s'installant.
Elle place ses jambes par dessus mes épaules, ce qui me permet de voir qu'elle porte de très beaux escarpins à talons hauts. Sa jupe de cuir, longue et très ample me laisse tout le passage nécessaire pour m'occuper d'elle. Martia me fait promettre d'être sage et discipliné (il me serait franchement de plus en plus difficile d'opposer la moindre résistance) et me retire ma cagoule. J'enfouis mon visage chaud et humide dans l'intimité de Caroline qui est déjà très excitée, et je commence à la lécher. Elle réagit très fort, d'autant plus que Martia et Malvina participent activement en dégrafant son corsage et en la caressant. Elle atteint son premier orgasme rapidement, et Malvina continue à la caresser. Pendant ce temps, Martia passe sa main sur le visage de Caroline, sur ses yeux, ses lèvres. Elle presse doucement sa main sur sa bouche et guette ses réactions. Je comprends rapidement que c'est une de ses techniques qui lui apprend rapidement si elle a affaire à une personne soumise ou dominante. Avec Caroline, il n'y a pas le moindre doute, elle a carrément l'air de réclamer le bâillon. Martia lui passe immédiatement une cagoule de latex sur la tête. Elle me retire mon gant et le passe aussi à Caroline.
C'est un spectacle réellement excitant de voir la fille encagoulée, le corps plié en deux posé sur les genoux de Malvina pendant que Martia serre vigoureusement les lacets du gant. Caroline se trémousse, arrachant des bruits très excitants aux jupes de cuir, et éprouvant ses liens, pour mieux sentir leur effet. De voir cette femme soumise et entravée dans les liens qui me serraient il n'y a pas deux minutes me met dans un état indescriptible! Je crois que je n'ai rien vu d'aussi excitant (et pourtant j'en ai vu ces dernières heures...) et Martia se rend bien compte de ma réaction.
- Elle est fantastique comme ça notre Caroline, tu n'aurais pas envie d'en profiter par hasard ?
Elle la fait alors s'agenouiller devant moi. Je sens Malvina derrière moi qui me remet ma cagoule et qui ensuite délace ma jupe et la fait glisser le long de mes jambes. Cette petite liberté accordée n'est pas pour me déplaire. Elle pose sa main sur mon sexe, et bien qu'il soit encore emprisonné dans une culotte de latex trop serrée, elle a vite fait de se rendre compte de mon état d'excitation. Je m'aperçois que la cagoule qui moule la tête de Caroline est entièrement fermée mais comporte une ouverture au niveau de la bouche avec une gaine de latex. Elle ne peut donc absolument pas parler mais va pouvoir prendre mon sexe dans sa bouche. Malvina libère ma bite et la guide vers la bouche de Caroline, qui réagit tout de suite et commence à me sucer.
- N'oublie jamais, me dit Martia à l'oreille, seule une esclave peut te faire ça. Tu es maintenant notre soumis et n'espère pas de nous la même chose ! Profites-en bien et rappelle-toi que c'est nous qui décidons quand et comment tu auras du plaisir...
Ces mots murmurés à mon oreille rendent mon plaisir encore plus intense et décuplent l'effet des douces caresses de Martia sur mon corps. Ma cagoule de latex ne me laisse rien émettre de plus que de petits soupirs, mais je suis au sommet de l'extase en voyant une Caroline entravée qui s'applique sur mon sexe, elle-même caressée par Malvina.
Au moment où j'éjacule, j'ai l'impression que mon orgasme n'a plus de fin, qu'il se répète encore et encore jusqu'à me laisser anéanti. J'ai bien senti que Caroline a joui presque en même temps. Le fait qu'elle jouisse plus par la situation dans laquelle elle se trouve que par les stimulations physiques montre à quel point elle est soumise. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'on ne manque pas d'occupation ce soir !
En fait, le moment arrive vite où le film se termine. Martia et Malvina nous aident à remettre un peu d'ordre dans nos tenues qui ont été quelque peu malmenées pendant que le générique se déroule, avant que les lumières se rallument. Nous sortons alors en compagnie de Caroline qui salue le gardien en lui laissant le soin de fermer les portes.
-
Ma chère Caroline, commence Martia, je ne sais pas si tu as prévu quelque chose ce soir, mais dans le cas contraire peut-être aimerais-tu continuer la soirée en notre compagnie. J'ai eu largement l'occasion de voir à quel point tu aimes les mêmes jeux que nous. Je t'assure que tu trouveras chez moi tout ce qu'on peut souhaiter, en tout cas tout ce qu'il faut pour combler une soumise comme toi.
-
Je n'osais pas vous le demander, mais comme vous me le proposez ! Par contre, j'habite tout près d'ici et j'aimerais passer chercher quelques bricoles chez moi si vous n'y voyez pas d'inconvénient.
Nous nous mettons en route et nous attendons Caroline devant la porte de son immeuble. Au bout de quelques minutes à peine, elle redescend avec un petit sac de voyage. Un peu rouge de s'être dépêchée, et sûrement aussi par excitation, elle nous explique qu'elle a préféré prendre quelques "effets pour la nuit". Elle ne doute pas, à en juger par nos tenues et surtout la mienne, que nous sommes bien équipés, mais elle a ses vêtements préférés qu'elle sera heureuse de pouvoir nous montrer. Quand Malvina lui demande des précisions, elle minaude, joue la timide et nous prie de patienter jusqu'à ce qu'elle les porte. En discutant, et malgré ma démarche entravée et donc plutôt lente à laquelle mes compagnes s'ajustent, nous arrivons chez Martia et montons à son appartement.
Chapitre 5 : préparatifs pour la nuit
Nous sommes à peine arrivés que Martia nous mène à la baguette, Caroline et moi.
- Bon les filles, il va falloir vous mettre en tenue rapidement, nous avons besoin de deux soubrettes dignes de ce nom, et le plus rapidement possible. Suivez-moi que je vous donne vos tenues !
Nous la suivons jusqu'à sa chambre. Je me déhanche sur mes bottes et ma jupe trop serrée, mais je me fais tout de même distancer. Martia me passe un savon en me disant que les talons hauts seront de moins en moins une excuse pour moi. J'ai intérêt, dit-elle, à m'entraîner sérieusement et à progresser si je ne veux pas profiter de sa patience.
Elle nous sort de son armoire deux tenues absolument identiques, parfaites pour faire de nous deux servantes latexées. Nous nous déshabillons rapidement et passons ces nouvelles tenues. D'abord, et ajusté au plus près du corps, nous avons droit à un corset, des bas, des gants, une culotte et une cagoule. Toutes ces pièces sont taillées dans un latex noir et brillant, et nous nous serrons mutuellement notre corset, encouragés par Martia à serrer le plus possible. Nous avons ensuite une petite robe de latex à manches bouffantes, très serrée au niveau des cuisses et s'arrêtant au-dessus du genou. Comme elle est moulée dans un latex assez épais, elle maintient fermement nos cuisses déjà gainée, nous procurant une sensation mêlée d'excitation et de vulnérabilité. Notre tenue est complétée par un petit tablier noir bordé de rouge et serré à la taille et au bas des cuisses par des courroies. Evidemment il n'est pas question de porter des chaussures plates avec une aussi belle tenue, et nous devons chausser des bottines vernies noires aux talons démesurés, fermées par des lacets et assurées à la cheville par des courroies.
Nous suivons Martia dans la salle de séjour où Malvina nous attendait, assise sur le canapé. Martia nous dit qu'elles ont été toutes deux bien patientes en attendant que nous soyons prêtes, et qu'il était maintenant temps que nous nous occupions d'elles. Caroline va se mettre au service de Malvina, et donc Martia compte sur moi. J'ai vraiment l'impression qu'elle veut s'assurer elle-même de mon éducation. En tout cas, elle fait tout pour ça.
Nous accompagnons nos maîtresses dans une pièce de l'appartement que je n'ai pas encore visité jusque là, et qui ressemble beaucoup à une loge de théâtre, en plus luxueux et beaucoup plus cosy. Canapés, coiffeuses, tout est là pour nous permettre de faire notre travail.
Nous aidons les deux femmes à se dévêtir, et les accompagnons à la douche l'une après l'autre. Bien sûr, j'avoue que j'ai pas mal de plaisir à sécher le corps de Martia avec une serviette à la sortie de la douche, car elle est vraiment magnifique, et tout autant à lui passer le sèche-cheveux. Elle est assise devant la coiffeuse, et pendant que je la brosse le plus délicatement possible, elle me parle tranquillement de sujets légers, laissant s'installer entre nous une douce intimité. Toujours attentive à souffler le chaud et le froid, elle me reprend sur un ton cinglant quand j'oublie de l'appeler maîtresse, pour reprendre ensuite un ton plus complice. Elle ne me laissera pas oublier où est ma vraie place et comment je dois me comporter en sa présence... De mon côté, je me surveille et je m'applique, mais je suis aux anges de cette nouvelle tournure des choses.
Une fois ses cheveux secs, je finis de coiffer Martia qui me demande de lui faire une queue de cheval assez lâche et tenue par un nœud papillon en velours noir. Elle me montre ensuite où sont les accessoires et je dois lui démaquiller le visage. Même si la douche a fait une partie du travail, il s'agit de prendre soin de sa peau et après avoir passé une lotion, je lui masse le visage avec un lait. Mes gants en latex, très serrés, ne me gênent pas du tout pour ça, tant ils sont ajustés à mes mains. Bien au contraire, enduits de lait ils glissent très bien sur la peau de Martia, et je pense que le contact en est même plus doux que celui d'une main nue.
Ensuite, elle me demande de lui enlever son peignoir et de lui talquer le corps. Elle m'explique que le fait d'avoir porté aujourd'hui du latex et du vinyle lui a chauffé la peau et qu'elle a besoin que cette chaleur soit un peu apaisée. Elle m'ordonne de ne négliger aucun centimètre carré et de toute évidence apprécie la manière dont je lui talque les seins puis les fesses. En voyant comment ma respiration s'accélère, elle se rend vite compte à quel point ces opérations m'excitent et ça la fait rire :
- Allons mademoiselle, un peu de tenue devant ta maîtresse, je ne risque pas de t'enlever ta cagoule si tu continues à saliver comme ça ! Calme-toi un peu et tiens-toi correctement si tu ne veux pas que je m'occupe moi-même de te calmer...
Je lui passe ensuite un superbe déshabillé en latex, ce qui me fait sourire un peu (et ça, elle ne peut pas le voir). Je crois que le talc, c'était entre autre pour ça car j'ai l'impression que sa peau aurait encore l'occasion de chauffer d'ici qu'elle se mette au lit. Mais ces réflexions-là, j'avais vraiment intérêt à les garder pour moi. Le déshabillé est vraiment superbe et lui va très bien. Il descend jusqu'à ses chevilles, et une ceinture marque sa taille. Il est échancré pour laisser deviner sa poitrine, et est fait d'un latex très lisse et très fin qui donne un très beau drapé. Elle me demande ensuite de lui chausser les bottes qu'elle a envie de porter maintenant, qui montent jusque sous le genou et sont faites aussi de latex. Elles sont lacées sur le devant, et je dois m'agenouiller devant elle pour les attacher. Les lacets me donnent pas mal de travail, car ils ont tendance à faire plisser le latex de la tige que je dois tendre et lisser régulièrement. Après pas mal d'efforts, je m'estime satisfait du résultat et l'absence de remontrance me le confirme. Les talons des bottes sont vraiment très hauts, bien plus que ceux de mes bottines, mais Martia marche vraiment avec la plus grande aisance. elle m'explique qu'elle escompte bien me voir faire aussi bien, voire mieux et assez rapidement. Charge à moi de travailler ma démarche et mon maintien !
Nous retournons au salon, où se trouvent déjà Malviana et Caroline, qui sont habillées respectivement comme nous le sommes. Martia nous fait déplacer la table basse, pour dégager un grand espace devant le canapé et nous fait porter et poser à cet endroit un grand matelas de mousse qui se trouve dans un placard du couloir.
- Voilà votre couche, les soubrettes, nous allons vous aider à vous préparer pour une bonne nuit. Nous devons ensuite tendre sur le matelas un grand drap housse de latex que Martia ramène de la chambre avec quelques accessoires. Après nous avoir fait enlever nos bottines, elle nous fait coucher sur le matelas et demande à Malvina de s'occuper de Caroline de la même manière qu'elle s'occupe de moi.
Elle commence donc par emprisonner mes bras derrière mon dos dans un monogant. Après me l'avoir passé et fixé par des boucles se croisant au niveau de mes épaules, elle le lace vigoureusement. Des mains jusqu'aux coudes, mes deux bras sont serrés l'un contre l'autre. Elle glisse ensuite mes jambes dans une sorte de corset équivalent, qui va des chevilles jusqu'au haut des cuisses, serré lui aussi par des lacets et fait de latex comme le reste de nos tenues, et je suis maintenant totalement à sa merci. J'ai droit ensuite à un bâillon plat qui m'interdit de protester, si j'en avais envie, puis elle enferme ma tête dans une cagoule de latex, et à partir de là je ne vois plus rien. En effet, il s'agit d'une cagoule intégrale serrée qui ne comporte pour seule ouverture qu'un trou au niveau de mon nez pour me permettre de respirer. Je sens enfin qu'elle attache mes chevilles avec une courroie, et qu'elle boucle une sorte de collier large autour de mon cou, qui m'oblige à redresser la tête, et qui d'après le bruit qu'il fait doit comporter quelques boucles d'accrochage.
Elles ont toutes les deux terminé leurs préparatifs en même temps, et le silence s'installe d'un seul coup. On n'entend que nos respirations précipitées à Caroline et moi, et les bruits que nos corps entravés arrachent au latex alors que nous essayons de bouger, autant que possible, pour trouver une position confortable. Je m'aperçois pour ma part que mes liens sont tellement serrés que mes possibilités de mouvement sont vraiment très limités. A chaque tentative de mouvement, je sens davantage les couches de latex se presser sur mon corps que mes membres bouger. Au bruit qu'elle fait, j'imagine que Caroline teste la situation dans laquelle elle se trouve maintenant et connaît le mêmes sensations, un peu effrayantes mais surtout délicieuses.
Je sens maintenant Martia qui me pousse doucement sur la couche jusqu'à ce que j'arrive au contact de Caroline. D'être ainsi aveuglé m'oblige à essayer d'imaginer la scène pour comprendre ce qui se passe, et mon imagination me rend tout ça encore plus excitant. Martia et Malvina passent autour de nos corps ce qui me semble être des courroies, quelles serrent sans ménagement. Il y en a suffisamment pour que Caroline et moi soyons littéralement plaqués l'un contre l'autre, mais en nous trouvant tête-bêche. Je m'aperçois qu'elles ont réglé tout ça de manière à ce que le sexe de l'un se trouve exactement au niveau du visage de l'autre.
Les premières sensations que je ressens sont la chaleur provoquée par les couches de latex et l'abandon dû à tous ces liens. Martia se penche vers moi et je sens maintenant sa bouche tout près de mon oreille. Elle me parle en me caressant doucement :
- Alors, ça te plait d'être attaché comme ça, tu a assez de liens ? Tu sais que vous composez maintenant toutes les deux un tableau très excitant ? J'ai rarement eu quelque chose d'aussi plaisant dans mon salon... Tu n'as pas mal ? Pas de problème pour respirer ?
A chaque question qu'elle me pose, ponctuée de quelques caresses, je ne peux bien sûr pas répondre par des mots, ma bouche serait bien en peine d'articuler quelque chose ! Je lui réponds donc en bougeant la tête. A la première fois, je ne réalise pas l'effet que ça doit faire à Caroline, mais je le réalise rapidement... Mon visage pris dans le latex qui vient se frotter à son sexe, ça lui plait et elle réagit en gémissant et en se trémoussant autant que le lui permettent ses entraves. Moi aussi maintenant, je commence à sentir ses mouvements contre ma queue, et ça commence à m'exciter sérieusement. Au fur et à mesure que je m'échauffe, des sensations puissantes viennent s'entrechoquer dans ma tête avec des idées et des désirs contradictoires.
Mon envie de jouir est puissante, et pourtant j'aimerais sortir de mon carcan pour sentir le contact de sa peau... En même temps, le contact du latex me semble délicieux et m'excite encore plus, comme le fait d'être attaché aussi sévèrement me rend presque fou de plaisir. Confusément, mais surtout de la manière la plus concrète possible, je ressens vraiment à ce moment complètement la nature de mon plaisir, fait d'un mélange au goût incomparable de jouissance et de frustration, de la recherche de la jouissance à travers les entraves, et de jouissance des entraves elle-même. Je ne sais pas comment Caroline vit ce moment, mais je sens bien sûr qu'elle le vit avec la même intensité à la mesure de l'énergie qu'elle jette dans la bataille !
Je ne sais plus à combien d'orgasme nous succombons l'un et l'autre, mais je sais que je continue à jouir même sans bander, tant l'excitation est grande, et au bout d'un moment qui m'a paru durer des jours, nous finissons tous les deux terrassés, nos mouvements se calment, et il ne reste plus dans la pièce que le bruit de nos respirations.
Au bout de quelques minutes, Malvina m'enlève ma cagoule et aussi celle de Caroline, ainsi que nos baillons.
- Bien, je crois que vous vous êtes assez amusés pour aujourd'hui, et il serait bien que vous passiez une bonne nuit. D'ailleurs, il n'est pas prudent de vous laisser comme ça sans surveillance. Vous pouvez maintenant respirer tout à fait à votre aise. Par contre, je crois qu'il vous plaira de dormir dans votre cocon de latex !
Elle détache ensuite les courroies qui nous serraient, mais nous laisse entravés et bâillonnés. Elle nous allonge cote à cote sur la couche de latex et nous souhaite une bonne nuit. Elle sort de la pièce et éteint la lumière, me laissant sur l'image superbe de son corps vêtu de latex qui se balance sur les talons hauts de ses bottes.
Iilva Aljina
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